On naît dans le mauvais sexe, on ne devient pas transgenre avec l’âge.
Dans les médias, même au cinéma et dans l’armée suisse, nombreux sont les transgenres qui
sortent du
placard en cassant les clichés.
Les personnes trans jouent dans des rôles au cinéma, sont visible dans les médias de masse.
Internet a mis en avant une grande diversité et une meilleure compréhension de la thématique.
On ne parle plus maintenant comme ce fut le cas autre-fois de transsexualité mais d’identité de
genre, transidentité.
La transsexualité ou dysphorie de genre est un trouble de l’identité sexuelle dont on ne connaît pas les étiologies. Au niveau biologique, on suppose un développement cérébral atypique lors de certaines périodes de sa formation notamment pendant l’embryogenèse, sous l’influence d’une imprégnation hormonale altérée et d’un polymorphisme génétique particulier. Cet article résume les recherches effectuées à ce jour dans ces trois domaines uniquement, écartant les facteurs psychosociaux ou environnementaux.
La personne « souffrant » de dystrophie à la conviction d’appartenir au sexe biologique opposé. Il est admis des grands types de transsexualité en Suisse. FtoM, female to Male, appliqué pour les individus nés du sexe féminin. FtoM, male to Female, pour le sexe de naissance masculin Qui sont soit accompagné d’homosexualité ou d’hétérosexualité.
Après discussion avec des transgenres FtoM, ce qui revient le plus souvent à de propos c’est comme elles se sentent des femmes dans un corps d’homme, aimer des hommes ne leur parraît pas être de l’homosexualité mais être en phase avec leur identité sexuelle intérieur. De même, si elles aiment une personne de même sexe que leur identité, à ce moment-là, elles se sentent effectivement homosexuelle. Ce qui est exactement l’inverse de ce qui est défini chez les psychologues ou dans différent média.
Comment une personne nait avec une appartenance anatomique sexuelle qui ne correspond pas à son identité psychologique ? Lors de la gestation, l’embryon passe par plusieurs étapes. la différentions sexuelle du cerveau survient plus tardivement que celles des organes génitaux.
Alors que dans les civilisations occidentales le transsexualisme est considéré comme une anomalie, il s’oppose à bien d’autres cultures qui lui ont donné un véritable statut social. Dans certaines cultures arabes, le transsexuel, nommé xanith, a le droit de garder son nom masculin, de s’habiller en femme et de se maquiller. Il peut circuler librement auprès des femmes, partager leur vie sociale derrière le purdah. Chez les Indiens d’Amérique, on les appelle des berdaches et ils jouissent d’un statut sacré.
En Inde, les Hijras constituent une caste à part mais contrairement aux xaniths ou aux berdaches, ils sont castrés. Il y a encore bien d’autres populations qui ont intégré ce troisième type qu’est le transsexuel. Dès lors on doit bien constater que la transsexualité existe partout mais que son appréciation varie d’une contrée à l’autre, allant du sacré à une attitude décadente.